26 septembre 2025

Remorqueur Phocéen Mission Goliath Shamrock 1915

Remorqueur Phocéen Mission Goliath 1915 Dardanelles


Ordre concernant la mission du corps expéditionnaire d'Orient.



M. le général d'Amade, commandant en chef le corps expéditionnaire d'Orient, a pour mission de coopérer avec les forces navales anglo-françaises et avec les troupes de débarquement anglaises : 

1 ° à l'opération de forcement du passage des Dardanelles; 

2° au maintien de la liberté de ce passage; 

3° à une action éventuelle des forces alliées sur Constantinople et le Bosphore...

Le gouverneur de Marseille assurera l'envoi du matériel et des approvisionnements par le premier bateau du service régulier spécial organisé pour le ravitaillement du corps expéditionnaire, dans les conditions ci-après : Départ de Marseille, les 13, 20 et 27 mars, les 3, 10, 17 et 24 avril; 

- de Toulon, les 13 et 27 mars, les 10 et 24 avril; - d'Alger, les 2 2 mars, 5 et 19 avril ; 

— de Bizerte, les 24 mars, 7 et 21 avril pour les dépôts de la province de Constantine et de la Tunisie.

La mission va durer de février à décembre 1915.

Durant cette période le second capitaine du remorqueur le Phocéen II  va expédier à sa femme une série de cartes postales de différentes escales.  Nous avons déjà eu l'occasion de parler  de cette mission dans un article concernant Marie-Ange Glâtre.

https://envelopmer.blogspot.com/2014/08/salonique-marie-ange-glatre-aux.html

La mission «Goliath-Shamrock» fut créée en février 1915 en vue de participer à l’expédition des Dardanelles décidée par le gouvernement anglais en janvier précédent et à laquelle la France alliée aux anglais au sein de la triple entente, était partie prenante.

L’ordre d’appareillage tombe le 28 mars 1915 .

Le Phocéen II est un navire mis à flot en 1902

Il sera retiré du service le 22/04/1919

Caractéristiques : 29 t.

Remorqueur Réquisitionné à Alger


Bizerte - Sidi Abdallah
le convoi de navires doit transporter les troupes sur le théâtre d'opération des Dardanelles. Il faut transporter et nourrir, pendant une traversée de 6 jours, 473 officiers, 17 989 hommes, 5 279 chevaux ; 1 187 voitures portant les bagages, 500 coups d'artillerie et 15 jours de vivres. 





En moins d'une semaine, 20 grands bâtiments sont prêts à embarquer les troupes et le matériel à Toulon, Oran, Philippeville, Bône et Bizerte.

 

Répartis en 6 groupes, ils se concentrent le 6 mars dans ce dernier port et à Malte.


Ces bâtiments sont les suivants : 

Les courriers et transports divers :

Abda  Annam Amiral Hamelin Armand Béhic Australien Basque Bosphore Britannia Burdigala Carthage Chaouia Charles Roux Ceylan Djemnah Djurjura Dukkala Dumbea France II France III Gange Havraise Himalaya Italie Liamone Lotus Lutetia Magellan Médie Mont-Blanc Moulouya Natal Paul Lecat Pélion Polynésien Savoie I Sainte-Hélène Timgad Yunnan 


La flotte affectée à ce service comporte également 

les navires-hôpitaux :

Asie Canada Duguay-Trouin Soudan Tchad 

Les transports de munitions :

Loiret Drôme Sainte-Marguerite 


Les navires frigorifiques :

Sergei Général Leman 


Les transports de charbon :

Algérie Bayonnaise Berthe Biarritz Breton Constance Jeanne Marie Provincia Saint-Simon Socoa 

Les navires affectés au service de l’eau :

Chasseloup-Laubat Etang Filtre Jules Henry Gharb Shamrock Ville de Rabat 

Les navires-dépôts :

Arcturus Argenfels Aquitaine Caravellas Théodore Mante 


Les remorqueurs :

Algérienne Bois-Rosé Ferret Goliath Infatigable Jeanne Antoinette Lauren Schiaffino Paul Phocéen Sud Zazita


Groupe naval composé par décision ministérielle du 22 avril 1915, du remorqueur Goliath (1903-1940) et du navire-hôpital Shamrock (1879-1920) pour la campagne des Dardanelles en août 1915 sera dissout le 31 décembre 1915.

Dardanelles 26-11-1915- Une phrase a été censurée 

Sources

https://forum.pages14-18.com/viewtopic.php?t=44301


22 septembre 2025

RADIO-FRANCE Une histoire de radio 1975 France Inter culture radio Tour-Eiffel Radio-PTT TSF

RADIO-FRANCE a 50 ans 


C’est à la fin du XIXe (19e) siècle que commencent les premières expériences de radio.
Guglielmo Marconi, un Italien curieux et inventif a à 22 ans, le génie de rassembler différentes inventions pour fabriquer la première radio. En 1896, il crée la société Marconi, qui développe la radio sur tous les continents. 

En 1920, les premières stations de radio sont créées. Et, en France, le poste de la tour Eiffel propose les premiers programmes réguliers.


À l'approche de la deuxième guerre mondiale, conscient de la supériorité de la radiophonie allemande techniquement fort en avance et de son pouvoir de nuisance par la propagande exploitée, le président du Conseil Édouard Daladier transforme radicalement l'organisation des stations de radiodiffusion françaises constituant le secteur public et privé, afin de conserver la mainmise sur l'ensemble. 



Le 29 juillet 1939, il crée par décret l'administration de la Radiodiffusion française nationale (RN), laquelle groupe tous les services de la radiodiffusion publique sous son autorité unique et non plus sous celle du ministre des Postes, télégraphes et téléphones (PTT), comme jusqu'alors. 

Les Essarts-le-Roi : inauguration de la station d'émission Radio-Paris 

La censure est instituée le 25 août 1939, suivie d'une loi instaurant le monopole de l'État sur la radiodiffusion promulguée en 1940. On compte jusqu'alors, quelques antennes publiques comme Radio PTT, Radio Tour Eiffel, Radio Alger ou encore Le Poste colonial.


À sa création, la Radiodiffusion nationale est placée sous l'autorité du président du Conseil et est rattachée au commissariat général à l'Information lequel en contrôle l'information. Le 1er avril 1940, la RN est rattachée au ministère de l'Information venant d'être créé par décret puis, le 8 avril, à la présidence du Conseil et le 17 juin, au ministère de l'Intérieur, à nouveau à la présidence du Conseil le 19 juin sous l'autorité d'un haut-commissaire à la Propagande (Jean Prouvost du 19 au 23 juin), à la vice-présidence du Conseil le 18 juillet, à la présidence du Conseil le 13 décembre, au ministère des Affaires étrangères le 4 janvier 1941 et enfin à nouveau à la vice-présidence du Conseil le 10 février. 

On écoute la radio en fammille - février 1941 -BnF


La loi-règlement du 7 novembre 1942 place la Radiodiffusion nationale sous l'autorité d'un Conseil supérieur de quatre membres et d'un administrateur général. 




Le 27 juin 1964, la RTF est remplacée par Office de radiodiffusion-télévision française et projette la création d'une trentaine de stations régionales en métropole et en Outremer. On note en 1971, la création de la station FIP, dont la programmation originale et inédite, marque une ceraine innovation.

Le timbre à date reprend le logo de la Maison de la Radio et de la Musique, il représente la grande couronne et la tour de « la Maison de la Radio »




La société nationale de radiodiffusion Radio France naît le 1er janvier 1975, date effective d’application de la loi no 74-696 du 7 août 1974, qui supprime l’Office de radiodiffusion-télévision française (ORTF) et crée sept organismes autonomes : Radio France, pour la radiodiffusion ; TF1, Antenne 2 et FR3, pour la télévision ; la TDF, la SFP et l’INA, trois sociétés publiques.


 Cependant, le monopole d’État est maintenu et chacune des sociétés est placée sous la tutelle du Premier ministre. Cette nouvelle Société nationale de radiodiffusion est chargée par la réforme de gérer et développer les chaînes de radio publiques de l'ex-Office, à l'exception des centres régionaux et ultra-marins de radio qui sont confiés à la société nationale de programme FR3. Son activité commence réellement le 6 janvier 1975.




La loi no 82-652 du 29 juillet 1982 sur la communication audiovisuelle supprime le monopole d'État et recrée par le décret no 82-792 du 17 septembre 1982[10] la société nationale de radiodiffusion Radio France qui est maintenant placée sous la tutelle de la Haute Autorité de la communication audiovisuelle qui établit le cahier des charges, veille aux règles de concurrence et nomme le président. 


Par la même loi, FR3 cesse d'être l'opérateur des 29 centres radiophoniques régionaux qui sont transférés à Radio France le 1er janvier 1983, à l'exception des 9 stations ultra-marines qui échoient à la nouvelle Société de radiodiffusion et de télévision française pour l'Outre-mer (RFO) qui vient d'être créée à cet effet. De même, Radio France internationale gagne en autonomie en devenant une filiale de Radio France.





Sources
La Poste
Radio-France
BnF Gallica

Un grand merci à Marcel D. pour cet envoi


19 septembre 2025

La Roche sur Yon Napoléon-Vendée Bourbon-Vendée

Napoléon-Vendée  Bourbon-Vendée

Changer 8 fois de nom n'est pas banal. La Roche-sur-Yon a connu ces événements en loins de 70 ans.

Le 25 mai 1804, Napoléon Ier décide de déplacer la préfecture de la Vendée à La Roche-sur-Yon, un choix stratégique qui permet de mieux administrer le département. 
Mais la ville, alors peu développée, doit être entièrement reconstruite. Sous l’impulsion des ingénieurs Cormier et Valot, elle adopte un plan en forme de pentagone avec une organisation en damier, inspirée des idéaux de rationalité et d’ordre chers à l’Empereur. Ce schéma urbain, toujours visible aujourd’hui, lui confère une identité forte et un héritage architectural unique.





La ville est fondée par décret impérial le 25 mai 1804 et est promue à cette même date préfecture de la Vendée en remplacement de Fontenay-le-Comte.

Ville napoléonienne, elle est débaptisée et rebaptisée à huit reprises : 
La Roche-sur-Yon, 
Napoléon (sous le Premier Empire, les Cent-Jours et la Deuxième République), 
Bourbon-Vendée (sous la Restauration), 
Napoléon-Vendée (sous le Second Empire). 

Elle reprend son nom d'origine en 1870.


Nom donné à La Roche-sur-Yon , d’avril 1814 à avril 1815 sous la Restauration, puis de juin 1815 à la proclamation de la république en 1848.



Transformer un petit bourg de quelques centaines d’habitants en préfecture, destinée à abriter 15 000 personnes.



La décision est prise au lendemain de la pacification de la Vendée alors que les risques de soulèvement demeurent toujours possibles.

 D’emblée, la ville est située au carrefour de six routes rectilignes propices à l’envoi de troupes. Le plan régulier est en forme de pentagone, avec un maillage en forme de grille (ou damier) divisé en quatre quartiers organisés autour d'une grande place centrale. 



Les principaux édifices publics imposants (préfecture, hôtel de ville, théâtre, tribunaux, lycée, église Saint-Louis, etc.) sont rapidement édifiés autour de la vaste place centrale, témoignant de la puissance de l’Etat.


Les difficultés techniques rencontrées par les ingénieurs des Ponts et Chaussées chargés de l’opération seront violemment balayées par l’empereur en 1808, lorsqu’il passe par la ville, et s’emporte contre les bâtiments construits en terre.

Le développement de la ville sera lent, puisque ce ne sera qu’en 1870 que le nombre d’habitants atteint 10 000, les incertitudes politiques n’ayant pas facilité son implantation dans le paysage vendéen. 

En témoignent ses changements de noms puisqu’il faut attendre 1870 pour que La Roche-sur-Yon s’impose après huit mutations qui la virent s’appeler Napoléon (sous le Premier Empire, les Cent-jours et la Deuxième République), Bourbon-Vendée (sous la Restauration), Napoléon-Vendée (sous le Second Empire).
Ce destin doit être comparée à celui d’une autre « ville nouvelle » napoléonienne, Pontivy, dans le Morbihan. Devenue chef-lieu d’arrondissement en 1802 et rebaptisée Napoléonville, elle est transformée à partir de 1807 quand elle est dotée d’un lycée, d’une caserne, d’une prison, d’une mairie, d’une sous-préfecture, d’un tribunal et d’un théâtre.










18 septembre 2025

Torpilleur TRAMONTANE Typhon Oran Royal Navy operation Reservist 8 novembre 1942 débarquement Afrique du nord

Torpilleur TRAMONTANE






LE LANCEMENT DU « TRAMONTANE»

La route passant devant les Chantiers de la Gironde, Quai de Brazza, sera coupée du 28 novembre, 7 heures du matin, au 29 novembre, 21 heures, pour le lancement du torpilleur «Tramontane » qui doit avoir lieu le 29 novembre vers 7 heures 30. La circulation sera assurée comme d’habitude par l’intérieur des Chantiers et le Chemin de Banlin. Le lancement du « Tramontane » devant avoir lieu sans cérémonie en raison de l'heure matinale, il n’a pas été lancé d’invitation pour cette opération.











L'opération « Torch »

initialement prévue pour le 30 octobre a été reportée au 8 novembre. Sous le commandement du général Eisenhower, les forces anglo-américaines se composent de quelque 200 bâtiments de guerre, 110 navires de transport, 107 000 hommes et d'une importante couverture aérienne. La Western Task Force, venant des États-Unis, doit débarquer au Maroc. La Center Task Force et la Eastern Task Force, parties d'Angleterre, doivent attaquer Oran et Alger.




À Oran, ce même jour, l'armée d'Afrique se tient prête à repousser toute attaque, conformément aux ordres reçus de Vichy. Les Alliés débarquent à 2h30 à Arzew, aux Andalouses et à Marsa bou-Zedjhar d'où ils doivent converger vers Oran. La résistance, dont le chef est arrêté avant même le début des opérations, est désorganisée et ne peut agir. La défense est âpre. Le port d'Oran ne peut être pris, pas plus que la base de La Senia.



Le but de l'opération Reservist était de capturer les précieuses installations et navires du port français vichyste d'Oran avant qu'ils ne puissent être détruits. Le débarquement de troupes directement depuis les navires était extrêmement risqué ; cependant les forces alliées espéraient prendre les défenseurs français par surprise, ou espéraient une coopération de leur part en laissant débarquer les forces de débarquement. Deux sloops de la classe Banff, les HMS Walney et HMS Hartland, furent déployés pour cette opération.


 Le 9 novembre, celui-ci rencontre le général Clark pour régler les modalités d'un cessez-le-feu général. Le lendemain, en fin de matinée, il donne l'ordre de cesser le combat. Oran vient de tomber après une lutte acharnée mais, à Casablanca, les combats se poursuivent jusque tard dans la soirée.

 

Perte de la Tramontane - 8 novembre 1942.




Il est 4 heures lorsque la Tramontane (C.F. de Feraupy, chef de division) quitte son poste pour éviter le Walney en feu. Elle va s’amarrer, non loin de là, à des chalands mouillés le long de la jetée. C’est à ce poste provisoire que le commandant de la 7ème D.T. reçoit l’ordre d’appareiller avec mission de signaler et d’attaquer des forces adverses repérées en baie d’Arzew. 



La Tramontane largue donc les chalands et manœuvre à petite allure au travers du port en compagnie de la Tornade (C.C. Pares) qui vient de la rallier. Le Typhon est alerté au passage. La Tornade franchit la passe en premier, mais prise dans une épaisse fumée provenant du Hartland, heurte les enrochements de la digue. La Tramontane sort donc seule. Le Typhon suivra dans quelques minutes...



Il est près de 5 heures lorsque la Tramontane met cap au nord . Seulement trois pièces de 130 mm sont battantes, la pièce n°4 n’ayant put être armée faute de personnel . A 5 heures 42, un bâtiment est aperçu par bâbord. C’est le croiseur britannique Aurora. Il répond au signal de reconnaissance en ouvrant un feu très bien ajusté. Immédiatement, on compte plusieurs blessés à la pièce n°3 ; puis la pièce n°1 est atteinte d’un coup direct alors qu’elle venait à peine de commencer le tir ; la pièce n°2 continue un instant à riposter avant d’être à son tour muselée, tout le personnel tué sauf le chef de pièce. Des éclats ont atteint les passerelles tuant le commandant et l’officier de manœuvre, blessant l’officier canonnier et l’officier torpilleur ainsi que quatre ou cinq hommes. 

Commandant de Féraudy
Le second, qui se trouvait sur la passerelle arrière se porte alors sur l’avant et prend le commandement. Entre-temps, l’officier de manœuvre, bien que grièvement blessé, avait fait poursuivre les évolutions en zigzag et fait noyer les soutes à munitions avant où un incendie venait de se déclarer. La pièce n°3 est remise en service sans télémétrie ni télépointage, mais doit rapidement interrompre le tir car les blessés et les corps des tués engagent les parcs et les norias, empêchant tout ravitaillement. Le croiseur anglais est maintenant suffisamment proche pour utiliser son affût quadruple de 40 mm qui mitraille les superstructures. Les 152 continuent leur ravage... La Tramontane flambe du rouf avant à la passerelle.



Maintenant sans artillerie, le torpilleur met à tribord sur la pointe de l’Aiguille, mais l’avant s’enfonce rapidement et atteint bientôt l’écubier, à un mètre du pont. Dans une telle position, le navire ne peut plus tenir la moindre vitesse. Le second se résout donc à stopper et fait prendre les dispositions d’évacuation. Malheureusement, la baleinière qui avait servi à démailler la chaîne, est restée à Oran et la vedette ne pourra être mise à l’eau par suite de la gîte trop forte ou d’une déformation du chantier. Les blessés les plus graves sont alors embarqués dans le canot à moteur, mais les garants, à cause de la forte gîte, se révèlent trop courts. Il faudra les couper au couteau. Malheureusement, l’avant ayant largué trop tôt, le canot s’évite vers l’arrière et va heurter l’hélice bâbord qui affleure l’eau en tournant encore lentement. Le canot est crevé et coule en quelques instants...

Torpilleur Typhon
Une partie de l’équipage s'est déjà jetée à la mer lorsque le Typhon accoste la Tramontane et met son canot à l’eau. Il embarque au moyen d’une planche le reste de l’équipage puis tente de passer une remorque pour aller échouer le torpilleur à la côte. Cependant, engagé à son tour par des bâtiments britanniques, il ne peut poursuive l’opération. Le sémaphore du cap de l’Aiguille avait entre-temps dépêché une embarcation au secours des naufragés.


Avant d’accoster la Tramontane, le Typhon avait pris une route plus directe vers le cap de l’Aiguille et avait reconnu dans le Nord le croiseur Aurora accompagné de deux destroyers. A 6 heures 10, il lançait deux torpilles en direction du croiseur - distance 9000 mètres - sans résultat.

Epave du torpilleur Tramontane à Oran


Sources

BnF Gallica

L'Ouest-Eclair

La Dépêche de Brest

La Liberté du Sud-Ouest

Ecole navale

http://ecole.nav.traditions.free.fr/officiers_deferaudy_adrien.htm



Remorqueur Phocéen Mission Goliath Shamrock 1915

Remorqueur Phocéen Mission Goliath 1915 Dardanelles Ordre concernant la mission du corps expéditionnaire d'Orient. M. le général d'A...